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JEAN.Je ne resterai que le temps de lui dire la chose et d'avoir un oui ou unnon.»Jean sortit et arriva en courant. En ouvrant la porte, il entenditqu'on se disputait; et il ne tarda pas à voir que c'était M. Pontois quigrondait Jeannot.M. PONTOIS. sac longchamp rose
Je te dis que j'en suis sûr; ma femme t'a vu prendre une poignée dedattes et de figues; elle a vu que tu les mangeais.JEANNOT.Mais, m'sieur, je les ramassais pour les mettre à la montre.Menteur! voleur!» s'écria M. Pontois.Et, se jetant sur Jeannot, il lui tira une poignée de cheveux, luidonna des claques et des coups de pied et, l'envoya à l'autre bout de lachambre.M. sac longchamp pliage toile PONTOIS.C'est la dixième, la centième fois que tu me voles, petit gueux. Que jet'y prenne encore une fois, et je te mets à la porte comme un voleur.»M. Pontois s'en alla sans avoir aperçu Jean, et laissa Jeannot pleurantet se désolant.Jean s'approcha de son cousin.«Jeannot, lui ditil affectueusement, prends courage; ne pleure pas. sac longchamp bandouliere
Jeviens te proposer quelque chose qui te fera plaisir. Simon t'offre dete prêter, pour le bal de M. Amédée, les habits que j'avais à votresoirée.»Jeannot essuya ses larmes et prit un air moins malheureux.JEANNOT.Je veux bien; je n'avais rien à mettre. Je te remercie bien et Simonaussi.

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